Bon, il est temps de reprendre les choses en main. Etant donné que ce blog commence commence un peu à partir à vau-l'eau, je recadre avec cette note ma situation.
Je suis depuis début janvier à Bordeaux où j'ai commencé par effectuer un mois en bureau d'étude afin d'avoir un aperçu de l'aspect préparatoire des chantiers. Pour se rendre compte de mon boulot, voici un petit résumé d'une journée type :
8h00 : Allumage de l'ordi
12h00 - 14h00 : Mise en veille de l'ordi - Déjeuner à la cafet' du Leclerc de St Médard en Jalles (comment ça j'adore les détails ?)
18h30 : Extinction de l'ordi
Comme vous avez pu le comprendre, l'ordinateur est la pièce maîtresse du bureau d'étude. C'est grâce à lui que l'on effectue les tracé de plan, les mesures des longueurs de tuyaux, de bordures, de volumes de terre à déblayer etc. nécessaires à l'établissement d'un marché. S'il y a également intervention de sous-traitants, il faut prendre contact avec eux pour qu'il nous fournissent leur prix en fonction des travaux qu'il auront à réaliser.
Sinon, depuis début février, je suis de retour sur les chantiers. Rien à voir avec le BE. Pour preuve :
6h00 : Lever
7h00 : Arrivée au dépôt - récupération du fourgon et des ouvriers se rendant aussi sur le chantier
7h45 : Arrivée sur le chantier
12h00 - 13h00 : Pause déjeuner, généralement réalisée en freestyle en fonction des commerces présents aux alentours. Mais le pied, c'est de manger au soleil, devant un étang, et de finir sa pause avec un bon bouquin (en ce moment pour moi, c'est La nuit des temps de Barjavel).
16h30 : Départ du chantier et horaire de retour à la maison très variable
Bref, c'est plus fatigant mais à mon goût beaucoup plus intéressant.
Aller, en bonus les faits marquants de la journée.
La citation du jour : "Le biseautage, c'est dans les écoles !"
La chanson que j'ai eu dans la tête toute la journée : All I Want Is You de Barry Louis Polisar (Merci Juno...)
Les surnoms que j'ai eu tout au long de la journée : Stéphane, Jean-Michel, Poulet, Mongolien, Petit homme et j'en ai oublié !